F-PNJJ Macareux (Jean)
Le MACAREUX II entre en cure de jouvence
Jean, comme d’hab, en mal de pouvoir donner un libre cours à sa créativité aéronautique, a décidé de modifier son Macareux II. Au programme, nouveau bâtit moteur, refonte du système électrique, nouvelles pipes d’échappement, nouvelle commandes moteur, et de nombreuses petites modifications pour alléger, améliorer le pilotage et les performances et faciliter la maintenance. Dépouillés de ses ailes, de son moteur et de son empennage, nous avons pu monter l’avion dans l’atelier du 1er étage. Jean avait bien mesuré les dimensions de l’avion, il était donc confiant qu’une fois à l’étage, l’avion n’allait pas poser de surprises, ce qui fut heureusement le cas.
Samedi midi, jour coutumier des retrouvailles bien arrosées, n’a pas échappé à la règle. C’est donc après un bon repas et du bon vin que l’équipe c’est mise au travail. Étonnamment, tout c’est très bien passé, pas de bobos, ni aux personnes, ni aux avions, car nous pouvions craindre le pire vu l’allégresse qui régnait. les plaisanteries règnaient. Nous pouvions ressentir quelques angoisses, surtout Dominique vu que son Gaz’ailes se trouvait sur le chemin. Il a fallu donc le déplacer et bien gérer le passage vers le font de l’atelier.
Première opération, amarrer le Macareux II et le suspendre au treuil. Facile. Avec Odil et Serge en poste en bas dans le hangar tenant des cordes attachées à la queue de l’avion pour contrôler sa position une fois hors sol, Jean-Marie aux commandes du treuil également en bas dans le hangar et Didier, Jean et Dominique en hauteur à l’entrée de l’atelier à l’étage, tous étaient parés pour la manoeuvre. Le Macareux II n’avait qu’à bien se tenir et obéir aux sollicitations. Au top de Jean, un coup de pouce de Jean-Marie sur la télécommande du treuil et vogue le navire, pardon, l’avion. Le Macareux II quitte le sol et monte lentement vers l’ouverture qui se trouve à l’étage. Nouvelle façon de voler.